Biomimétisme et restauration écologique

29 Avril

10h

Insufflées par le projet DRIVER, les opérations de restauration écologique et de non-dégradation des habitats marins côtiers se développent de manière expérimentale et innovante et opérationnelle depuis ces dernières années autour d’une discipline scientifique récente dont l’objet vise la restauration des habitats naturels, des connectivités et des fonctions écosystémiques complexes. Les expertises et le suivi scientifiques ont permis de mesurer les impacts mais également les limites actuelles de ces opérations de reconquête de la biodiversité en mer. Ainsi, forte de cette assise solide et après cette première période de 10 années passées, la restauration écologique doit continuer à améliorer ses connaissances et son efficacité. Parallèlement, le biomimétisme, dont l’objectif est l’observation et la compréhension du monde vivant pour innover durablement, se structure dans une approche interdisciplinaire. Tirant ses principes du vivant, il permet d’envisager des formes adaptées au vivant, propices à son développement. Il propose également de réduire l’impact des solutions proposées sur les écosystèmes, de contribuer à leur régénération. Le biomimétisme connait un essor récent, voire un effet de mode tant son potentiel d’application est grand notamment pour le milieu marin. La rencontre de ces deux disciplines complexes en pleine structuration est donc prometteuse. Néanmoins, leur succès grandissant, couplé à la complexité de travailler pour et avec le vivant, nécessitent de proposer un cadre partagé pour que le biomimétisme devienne un outil d’intérêt pour la restauration écologique

@Yellena James

Biomimétisme et restauration écologique

29 Avril

Insufflées par le projet DRIVER, les opérations de restauration écologique et de non-dégradation des habitats marins côtiers se développent de manière expérimentale et innovante et opérationnelle depuis ces dernières années autour d’une discipline scientifique récente dont l’objet vise la restauration des habitats naturels, des connectivités et des fonctions écosystémiques complexes. Les expertises et le suivi scientifiques ont permis de mesurer les impacts mais également les limites actuelles de ces opérations de reconquête de la biodiversité en mer. Ainsi, forte de cette assise solide et après cette première période de 10 années passées, la restauration écologique doit continuer à améliorer ses connaissances et son efficacité. Parallèlement, le biomimétisme, dont l’objectif est l’observation et la compréhension du monde vivant pour innover durablement, se structure dans une approche interdisciplinaire. Tirant ses principes du vivant, il permet d’envisager des formes adaptées au vivant, propices à son développement. Il propose également de réduire l’impact des solutions proposées sur les écosystèmes, de contribuer à leur régénération. Le biomimétisme connait un essor récent, voire un effet de mode tant son potentiel d’application est grand notamment pour le milieu marin. La rencontre de ces deux disciplines complexes en pleine structuration est donc prometteuse. Néanmoins, leur succès grandissant, couplé à la complexité de travailler pour et avec le vivant, nécessitent de proposer un cadre partagé pour que le biomimétisme devienne un outil d’intérêt pour la restauration écologique

@Yellena James

Intervenants:

Pierre Boissery – Rhône Mediterranean Corsica French Water Agency
Olivier Bocquet – Rougerie Tangram
Philippe Lenfant – University of Perpignan / DRIVER

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© Louis-Marie Préau